Bad Girl's World
Dans une ville où il y a 3 moto Club... Un troisième s'est créé. Sa particularité ? Il n'est composé que de femmes.
2020 - Fille d'un des hauts gradés des Shadow Prowlers, Kaia Bradshaw, en a marre. Marre d'être surprotégée, traîtée comme une faible chose, incapable de se défendre. Elle a grandi au milieu des motards, elle connaît leurs façons de gagner de l'argent, de se battre, de rouler, de négocier avec la police. Elle décide donc, sur un coup de tête, de monter son propre club. Evidemment, tous les mecs des Prowlers se moquent d’elle. Et puis une fille la rejoint dans ce projet un peu fou. Une autre. Ensemble, elles vont parler aux filles des Nightmare’s Captain. Elles leur promettent des responsabilités, de l’action. Au final, elles sont 10 pour former les Daugthers of Darkness.Les Prowlers contrôlant la drogue et les Captain les armes… Les Daughters se sont mises à contrôler l’industrie du sexe. Leur QG ? Une boîte de strip-tease. Si il y a prostitution des filles, c’est de leur plein grès. Pas de traite d’être humains, un salaire juste. Et Kaia est une louve avec ses protégées.
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Prudence J. Halliwell
Prudence J. Halliwell
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La vierge est la putain Empty La vierge est la putain

Mar 10 Mai - 14:01

La vierge est la putain

Mme et Mr De Molay

Le réveille sonne et je me réveille, en sursautant, comme tous les matins. Je guette mon mari et lorsqu'il se redresse pour se lever, je me jette sur lui et le plaque contre le matelas.
"Vous restez ici, Monsieur De Molay."
Je me mets sur lui, sourire carnassier aux lèvres. On était en semaine, on allait tous les deux devoir se dépêcher pour aller au travail. Il allait peut-être même faire semblant de m'en vouloir. Mais au diable les responsabilités. Le temps d'une gâterie, du moins.
Je l'embrasse fougueusement sur les lèvres. C'en est limite désagréable avec la bouche pâteuse et la gorge sèche. Mais rien de telle pour faire monter la température. Pendant ce baisers, mes mains se mettent à parcourir et caresser le corps de mon époux.
Petit à petit, mes baisers suivent mes mains. Mes lèvres atterrissent (et périls) sur son service trois pièces. Je souffle dessus, tantôt froid, tantôt chaud, pour jouer légèrement avec ses nerfs. J'observe toutes ses réactions.
Mes mains prennent les siennes, j'entrelace nos doigts. Je place nos mains de façon à ce qu'il ne me touche pas. Ainsi, je dominais. C'était rare que je prenne le pouvoir. Mais un coups de temps en temps, ça avait son charme. Le sentir à ma merci, savoir que je pouvais lui faire ce que je voulais, sans qu'il ne puisse faire quoi que ce soit, c'était... Appétissant !
Je passe ma langue sur ses joyeuses, doucement, j'en entre une dans ma bouche et la suçotte, tout doucement, très délicatement. J'essaie de saliver au maximum. Je lâche la première valseuse et fais la même chose avec la seconde.


Puis vient au tour de la verge. Je lèche avec le bout de ma langue, laissant une fine trace de salive dessus. Je souffle de l'air froid dessus et regarde sa réaction. Un coup d'oeil rapide sur le réveil m'indique qu'il faut que je m'active. Je me remets à la tâche. Je lèche le membre viril, de façon à ce qu'un maximum de la surface de ma langue soit en contact avec lui. Puis je le gobe, tout entier. J'essaie de retenir ce son dégoûtant de lorsqu'on enfonce le pénis dans sa gorge. Je bouge ma langue, salivant le plus possible. Le phallus ne sort pas un quart de seconde de ma gorge. J'ai du mal à retenir la bile, du mal à respirer. Les forces commencent peu à peu à m'abandonner, je m'étouffe silencieusement. Je reste concentrée. Je n'abandonnerai pas le temps que je ne sentirai pas le liquide chaud couler dans ma gorge. Ma langue s'active autant que je le peux.
Enfin, la délivrance pour nous deux arrive ! J'avale en me laissant tomber sur le côté. Je ferme les yeux et reprend ma respiration. Je n'entends plus rien, mis à part un bruit sourd, comme lorsqu'un ordinateur bug. D'ailleurs, mes yeux, c'est le blue screen total. Rien de grave. En 10 secondes, je reviens à moi. Un jour, mes conneries vont me coûter la vie. Et ce sera la plus belle de toutes les morts.


Lorsque les forces me reviennent, je me lève d'un bond et file prendre mon petit déjeuner, nue. Après tout, c'est une perte de temps que de mettre son pyjama lorsque l'on a aucun vis à vis. Je bois mon café sur le pouce. Je mangerai en conduisant.
Ensuite, je file sous la douche, pendant la quelle je me brosse les dents. Une organisation bien huilée pour une optimisation maximale du temps qu'il me reste avant d'être en retard. Je ne pends pas le temps de sécher ma chevelure flambloyante. Je file m'habiller dans la chambre et je m'amuse. Jupe en dessous du genoux et col-Claudine, escarpins crème par dessus des collants couleur chair. Je m'assure que mon alliance est bien placée. Vient alors le tour du maquillage. Je le fais sobre.
J'aimais me transformer en vierge effarouchée aux yeux du monde. Mon côté taquine, sans doute. J'aimais à me dire que l'on me pensait certainement innocente. Et ça me faisait rire lorsque j'entendais des pères parler entre eux de me "dévergonder un peu". Messieurs, si vous saviez !
Je retrouve mon mari et l'embrasse sauvagement. Mon petit jeu était de lui donner la gaule juste avant de partir travailler, histoire de le mettre en haleine pour le soir.
"A ce soir mon amour... Pense à moi..."

Des diables, voilà ce que sont les enfants aujourd'hui. Intenables. J'ai une migraine d'enfer a cause du bruit qu'ils ont pu faire. Aujourd'hui, c'était des enfants du 3eme grade que j'avais à ma charge. Comprenez des petits monstres de 8 à 9 ans. Ils ne m'aiment pas car c'est moi qui les bassine avec le FCAT (The Florida Comprehensive Assessment Test), nécessaire s'ils ne veulent pas redoubler. Ainsi le "travaillez, sinon vous allez devoir redoubler et ce ne sera pas de ma faute", ça ne passe pas avec les mioches. Je préfère, et de loin, lorsque je travaille au kindergarten. Là, au moins, les enfants sont heureux de me voir.
Enfin bref, là, j'avais besoin de me changer les idées. Il est 16h, j'ai quelque temps devant moi avant que mon mari ne finisse sa journée.J'en profite pour faire des emplettes : magasin de lingerie et sexshop. Je craque pour un ensemble nuisette ample et string, le tout noir. Oui, j'ai décidé de continuer sur la ligne de la vierge effarouchée. Je craque aussi pour une plume d'oie. Je salut Liam, qui nous connait un peu. Puis je rentre.

Je me mets à la préparation d'un repas assez français : Paupiettes de veau rôtie et gratin dauphinois. Je débouche aussi une bouteille de vin blanc, plutôt sucré et mets le breuvage en carafe. Je mets la table, à la française (comprenez au millimètre près).
Là-dessus, je file me changer. Je mets mon ensemble tout neuf, après avoir retiré les étiquettes. J'arrange mes cheveux, retouche mon maquillage mais le laisse naturel. Puis je descends, la plume à la main. Je pose l'objet sur la table, bien en évidence.

Lorsque mon mari rentre, je suis en train de servir les assiettes, en petite tenue. Je me retourne vers lui et vais dans ses bras. C'était toujours un plaisir d'y être. Sans doute à cause de mon jeune âge ? J'étais folle amoureuse. Il m'avait incroyablement manqué, comme tous les jours. Mais c'était un réel plaisir de le retrouver, comme tous les jours. D'ailleurs, le repas et cette tenue étaient une façon de le lui dire. Un façon de lui signifier que j'avais pensé à lui. Bon, j'avoue, c'est aussi une façon d'être sûre qu'il n'ira pas voir ailleurs. Après tout, si il voit que si même avec un travail, j'arrive à prendre soin de moi, à rester désirable et que j'arrivais aussi à tenir la maison, il n'aurait aucun prétexte pour aller voir ailleurs !
Je ferme les yeux et écoute son cœur. Il ne bat que pour moi, je le sais. Puis je lève la tête vers lui et l'embrasse tendrement.
"Comment s'est passée ta journée ?"
J'étais fébrile. J'avais envie de lui sauter dessus, de sentir ses mains tirer sur mes cheveux ou sur mon cou. Mais nous sommes civilisés. Et surtout, il faut manger avant. Malgré mes désirs ardents, je vais vers la table.
"Viens manger, c'est prêt."
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